Droit de réponse

En résumé

Bertrand Ollé est bienveillant, son casier judiciaire est vierge.

En détail

A ce jour, quelques média refusent toujours de retirer leurs articles au titre et contenu sinon diffamatoires (le soliste n'était pas chef de chœur notamment), du moins déplacés. Depuis 2015, Bertrand Ollé est engagé plus en avant dans la lutte contre les violences faites aux enfants. Il publie l'ouvrage Encore victime dont voici quelques extraits choisis :

« Denis Dupays s’est déplacé plusieurs fois. Il n’était pas originaire de Toulouse [il semblait l'être pourtant], et son talent reconnu de musicien l’a ensuite amené à diriger des enfants à Nantes, Radio-France, au Val-de-Marne. Enfant, je l’ai vu diriger des enfants au Théâtre du Capitole, l’opéra de Toulouse...  »

« Nous sommes en 1986, et c’est pour moi le premier de la série des départs violents de mes chefs de chœur — pour des raisons diverses d’ailleurs. Celui de Michel (Rivière) des Borderies sera suivi par le déplacement en 1989 de frère Yves (Marie) Lequin (note : voir son droit de réponse), en 1990 de [...] « Ce scandale étouffé était un sujet récurrent au sein de la chorale et même à l'extérieur, puisque pendant les rassemblements de chorales d'enfants, on nous appelait "la Mané des pédés". »

Les Chevaliers du Fiel livrent leur témoignage dans un sketch intitulé Le Petit Chanteur à la croix de bois, où le petit Francis (Ginibre, petit chanteur à Toulouse de 1969 à 1976) dit avoir peur de « l'Abbé Michel ».

En 2007 : « Je n'ai pas été entendu, ni cru pour autant : la vice-procureur [...], se disant protecteur des enfants abusés, a proféré publiquement : "Vous n'êtes pas dépressif. Vous n'avez pas été victime : c'est une stratégie de défense !"... Abasourdi, une nouvelle fois abandonné un adulte, en l’occurrence dépositaire de l’autorité suprême, je n'avais plus qu'à me laisser encore écraser par les autres. »

Une mère de famille, en 2008 : « Il paye pour plein : Michel Rivière des Borderies, c’était un... excusez-moi : un fumier ! c’est lui qui a commencé. L’autre, avant, qui a été envoyé, qui a été expédié, je n’arrive plus à me souvenir du nom... [...] L’Abbé Rey était pourri jusqu’à la moëlle, mais à l’époque je ne le savais pas... [...] Emmanuel est venu dans le car s’asseoir à côté de moi, et Olivier Hoarau, qui était séminariste à l’époque, et qui était un pourri, est venu à lui : "Tu viens avec moi dans le fond du car." [...] Olivier Hoarau et Yves Lequin ont menacé mes enfants [...] de leur faire du mal si je dévoilais. Moi j’étais allée tout de suite voir François Remaury, le prêtre de la cathédrale. Il m’avait même dit à l’époque : "Vous enlevez Emmanuel : vous faites très bien. Surtout ne le mettez pas aux scouts !" [...] Madame Chansou m’a dit, et je suis prête à le redire : "si Emmanuel n’en passe pas par là, il ne sera pas normal". Elle avait 53 ans. » En 2011 : le faux-témoignage de Marie-Claire Chansou (mère de notre camarade Frédéric) « est inattaquable », puisqu’elle « n’a pas témoigné sous serment lors de [ma] comparution ». « En sortant de l’archevêché, Monseigneur Collini m’a dit : "Madame [...], je compte sur vous pour ne pas éclabousser l’Eglise. Alors c’est sûr que je ne suis pas allée me précipiter vers le journal La Dépêche du Midi pour aller le dire ! »

En 2008, un ancien camarade d'infortune : « Je trouve injuste qu'on ait pu témoigner contre [Bertrand] et qu'il soit lui privé de liberté alors que les vrais responsables sont encore libres et qu'ils ont fait bien pire... Si je vous donne ce témoignage aujourd'hui, c'est uniquement pour que l'on puisse tous ensemble se reconstruire autour de ces événements. [...] Je suis prêt à pardonner sincèrement à M. et D., mais je veux que ces gens sachent qu'ils ont sacrifié un enfant... alors, je me révolte d'entendre que si moi je suis prêt à pardonner, que l'on n'ait pas su pardonner à Bertrand ! » « Malheureusement, lorsque, au début de l’été 1986, nous participons à une semaine de prises de vues à Boutx-le-Mourtis, chez "Madame Mercier, amie de Madame Chansou", je partage chaque soir mon lit avec cet adulte indisposant. » « L'écho d'une souffrance qui ne sera peut-être jamais apaisée, et beaucoup de questions qui restent en suspens: pourquoi moi ? pourquoi ce silence des autres ? pourquoi tant de gens si croyants et si malhonnêtes ??... Suis-je une victime ou finalement coupable de m'être laissé faire... [...] Il est vrai que l'enfant des cités issu d'un mariage mixte, pas assez catho et un peu trop juif était certainement une proie facile ! Dire que j'ai presque été baptisé de force par [...] avant le départ pour la Pologne !! Il voyait en moi le mal incarné... pauvre gars ! Si seulement il savait qui était le mal... [...] Combien l'église a-t-elle gâchée de vocations et combien encore devra-t-elle sacrifier d'âmes innocentes ? »

Une autre mère de famille, en 2017 : « Bonsoir, nous avons appris avec Marie* et Constance* que Michel des Borderies a été écarté des PCL, c'est le Père Vénitus qui l'a annoncé à Constance*. Ils ont l'air tous sonnés, parce qu'il semblerait que le diocèse de Toulouse soit intervenu "énergiquement", ce qui est très bien, nous n'en savons pas plus. Mais nous sommes toutes trois soulagées. » (* Les prénoms ont été modifiés.)

Un peu avant Noël 2017, un petit chanteur adulte : « Je ne partage pas l'avis de ceux qui veulent supprimer votre page [voir la page Facebook Kids' Crusade]. Je pense que la Manée (sic) n'assume pas en effet son passé. [...] Je peux faire part à l'archeveché de cette histoire. Peut etre feront-ils quelque chose. [...] Comprenez que je peux perdre des amis que je connais depuis 10 ans maintenant. »

En mars 2018 : « J’ai eu au préalable le journaliste au téléphone, Fabrice Valery, correspondant de France 3 [...] Je comprends assez vite que le but de son appel n’est pas de recueillir des éléments pour ma défense : je dois répondre à ses questions. Malgré mes demandes répétées, je n’ai pas la parole. Tais-toi – Acte III. Le journaliste cherche juste à mettre un peu de sel dans son article à charge, en le soutirant au condamné avant de le faire monter sur l’échafaud.

Aussi : Droit de réponse médiatique

Droit de réponse des Pères Yves Lequin et V.

Par courriel en date du 9 juin 2019

Bonjour Bertrand,

j’ai bien reçu l’annonce de la publication de votre ouvrage. 
j’y porterai un regard attentif puisque vous faites savoir que vous parlez nommément de
la paroisse, de paroissiens et de moi-même.
Vous comprendrez pourquoi je ne manquerais pas d’y porter la réponse judiciaire appropriée
si des mensonges ou des propos diffamatoires étaient ainsi publiés.
Bien à vous,
V...+

Par courriel et lettre recommandée avec accusé de réception en date du 3 octobre 2019

Maître Jean-François GONZALEZ
Avocat au Barreau de Grasse

Cher Monsieur,

Je vous adresse la présente en ma qualité de Conseil du Père Yves-Marie 
LEQUIN.

Dans un document [...insultes...] vous osez porter à l'encontre de mon client de 
très graves accusations dénuées, qui plus est, de tout fondement. 

Deux possibilités me sont offertes par la loi pour faire sanctionner pareil 
comportement répréhensible : Une procédure pour dénonciation calomnieuse, ou bien une 
saisine judiciaire pour diffamation.

Eu égard [...] 
je ne saurais trop vous conseiller de cesser immédiatement vos accusations à 
l'endroit de mon client. [...] Le statut peu enviable qui est le vôtre 
devrait vous inciter à faire preuve de raison et de lucidité, et vous conduire à adopter un 
comportement responsable et taiseux.

La présente constitue l'unique mise en demeure qui vous est faite de cesser 
de porter atteinte à l'honneur du Père LEQUIN. A la moindre réitération de vos accusations 
mensongères, je n'hésiterai pas à saisir le Procureur de la République territorialement 
compétent d'une plainte circonstanciée à votre encontre.

Persuadé que vous prendrez conscience de l'urgence de mettre un terme à vos 
élucubrations épistolaires et logorrhéiques, je ne vous salue point.

Réponse par courriel en date du 22 octobre 2019

Cher Maître,

J'ai bien peur que les mauvaises manières du Père Lequin
ne vous aient éclaboussé.

Je ne saurais trop vous conseiller de regarder plus attentivement
le dossier, afin d’éviter les erreurs grossières commises à mon encontre.

Je vous remercie de votre délicatesse, qui me rappelle que je dois 
à votre client l’infamie d'une figuration hélas ! non défrayée.

Fort heureusement, n'ayant plus 14 ans, Yves n’a plus d’autorité 
pour me faire chanter, pas plus que vous ne semblez avoir de talent
pour me faire taire.

Monsieur, je vous saluerais si vous consentiez à m’applaudir.

        M. Ollé

Par courriel, 10 minutes après

Cher énergumène égaré dans la démence, votre [... insultes ...] Que peut la bave du crapaud 
contre la blanche colombe? [...]  vous convaincre définitivement 
de cesser vos harcèlements, vos calomnies et votre diffamation? Plutôt que de me 
répondre maladroitement, rapprochez-vous de votre avocat, s'il se trouve encore un 
confrère désireux de défendre l'indéfendable.
Naturellement, j'enregistre tous vos écrits pour les soumettre à un magistrat.
Je continue de ne point vous saluer. Comme dit la publicité, nous n'avons pas les 
mêmes valeurs.
Jf gonzalez avocat

A ce jour, aucune action n'a été engagée contre cet ouvrage lanceur d'alerte, où tout est donc vrai ou rapporté de bonne foi.

Encore Victime - Chapitre 1 - Le Harcèlement - Extraits - Encore Victime - Chapitre 2 - La Pédophilie - Extraits - Encore Victime - Chapitre 3 - Le Bouc émissaire - Extraits - Encore Victime - Annexes - Extraits - Still a Victim - Chapter 1 - Harassment - Excerpts - Still a Victim - Chapter 2 - Pedophilia - Excerpts

Notes :

En mars 2021 Jean-Michel Baylet, Président-Directeur général du groupe La Dépêche depuis 1995, ancien sénateur et ministre, doit répondre publiquement d'accusations de crimes (et non de délit) sur mineure âgée de 12 ans.

En novembre 2021, malgré la réhabilitation légale et la publication de l'ouvrage Encore victime, les persécutions ont repris et continuent.

Cette page est vouée à disparaître si, selon les recommandations du Conseil d'Etat en date du 6 décembre 2019, les acteurs du web (Google, Bing, Wikipédia...) font droit à l'oubli.